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L'Université William Marsh Rice, communément appelée Université Rice, est une université privée située sur un campus de 300 acres à Houston. Inaugurée en 1912, elle se spécialise dans les études de premier cycle, et comprend onze collèges et huit écoles.
Histoire de l'Université
L'histoire de l'Université Rice débute avec le décès de William Marsh Rice (1816-1900), un homme d'affaires du Massachusetts qui a fait sa fortune dans l'immobilier, le développement des chemins de fer, et le commerce du coton dans l'État du Texas. N'ayant pas de descendants directs, Rice décide, en 1891, de financer la création d'une institution d'enseignement gratuite, portant son nom, à Houston; cette institution devant être créée après son décès. Pour ce faire, il y réserve la plus grande partie de sa fortune.
Le matin du 23 septembre 1900, Rice, alors âgé de 84 ans, est trouvé mort, dans sa résidence de New York, par son valet, Charles F. Jones (1875-1954). Il est alors présumé qu'il est décédé dans son sommeil. Peu de temps après, un chèque important, émis en faveur d'Albert T. Patrick (1866-1940), l'avocat personnel de Rice à New York, et signé par le défunt Rice alerte le caissier à la banque puisque le nom du bénéficiaire comporte une erreur d'orthographe. L'avocat informe que Rice a modifié son testament et que celui-ci lui lègue la majeure partie de sa fortune plutôt que d'être utilisée au projet de l'institution d'enseignement. Une enquête mène à l'arrestation de Patrick et à celle de Jones. Ce dernier avait été incité à administrer du chloroforme à Rice pendant son sommeil. Un ami et avocat personnel de Rice à Houston, le capitaine James Addison Baker Jr. (1857-1941), participe aux travaux qui mènent à prouver que le testament en question est un faux et qu'il comporte une signature forgée. Jones n'est pas poursuivi en justice, car il coopère avec l'avocat du district et témoigne contre Patrick. Celui-ci est trouvé coupable et est condamné pour meurtre en 1901 (il obtiendra un pardon en 1912 grâce à des témoignages médicaux contradictoires). Baker aide la succession de Rice à diriger la fortune alors établie à 4,6 millions $ en 1904, vers la création de l'institution d'enseignement qui devient l'Université Rice. Le conseil de direction de l'Université prend le contrôle de la somme le 29 avril 1904.
En 1907, le conseil d'administration sélectionne Edgar Odell Lovett (1871-1957) pour dirigier l'institution qui en est encore à la phase de planification. Lovett accepte et devient officiellement le premier président de l'Université le 12 octobre 1912.
Histoire de l'École de musique Shepherd
L'École de musique Shepherd existe sur papier depuis 1950 grâce à une dotation de 8 millions $ reçue de la part de Sallie Shepherd Perkins en l'honneur de son grand-père, Benjamin Armistead Shepherd (1814-1891), un banquier de Houston. L'École ouvre ses portes en mars 1974 sous la direction de Samuel Jones. L'édifice qui abrite l'École, le Alice Pratt Brown Hall, comprend trois salles de concert, des salles de pratique, des espaces pour les répétitions et des salles de classe. Il a été inauguré le 4 octobre 1991, en l'honneur d'Alice Nelson Pratt Brown (1902-1984). Avant que l'édifice ne soit disponible, les concerts avaient lieu dans différents endroits de Houston.
La salle et l'orgue Edythe Bates Old
Une généreuse philanthropie de la part d'Edythe Bates Old (1903-1995) rend possible de parachèvement de la salle de concert qui porte son nom et le début de la construction de l'orgue. La salle de concert, qui est construite spécifiquement pour les concerts d'orgue, peut accueillir environ 200 personnes. La salle est parachevée en 1991; un plancher de bois, des chaises amovibles, et un système de bannières acoustiques rétractables sont ajoutés en 1995; l'orgue lui-même est installé en 1996; et des éléments de diffusion sont ajoutés sur le mur arrière alors que l'harmonisation est parachevée.
Dès les tous premiers moments de sa conception, en 1992, le grand orgue de concert est identifié comme devant être un instrument unique avec une identité et une sonorité qui lui sont propres, et rendant possible l'interprétation d'oeuvres pour orgue s'échelonnant sur quatre siècles, et ce, de manière probante. Après de nombreuses études, le facteur d'orgues Manuel Rosales, de la firme Rosales Organ Builders, de Los Angeles, et Clyde Holloway, professeur d'orgue à l'École de musique Shepherd, déterminent qu'un orgue, dont les caractéristiques sonores appréciées en France au cours des XVIIIe, XIXe et XXe siècles, offrirait la meilleure polyvalence pour l'interprétation de la majeure partie du répertoire. Ce type d'orgue s'adapterait aussi au répertoire émanant de plusieurs pays et provenant de siècles antérieurs et à venir. Ils décident qu'un instrument de taille assez grande est une nécessité, non en raison du cadre dynamique, mais dans le but de posséder toutes les sonorités essentielles requises pour l'interprétation d'une grande partie du répertoire.
Lorsqu'il devient évident que la taille de l'instrument allait excéder celle du plus gros orgue construit, à ce jour, par la firme, Manuel Rosales commence à explorer la possibilité d'impliquer la firme C.B. Fisk, de Gloucester au Massachusetts. Quoiqu'il entend conserver le rôle artistique central, son but devient de créer une réelle coopération entre les deux firmes. La sélection de la firme Fisk est accueillie avec enthousiasme par Clyde Holloqay. La réputation déjà établie de Fisk en ce qui concerne la construction d'orgues complexes de différents styles mène, en mars 1993, à une redéfinition du projet alors que Fisk devient le constructeur principal. Une planification détaillée s'enclenche au printemps de 1994 avec la sélection des matériaux et une première élaboration des tailles de la tuyauterie.
Un voyage d'études de deux semaines en France mettant l'emphase sur les traditions de ce pays en matière de facture d'orgue a lieu en septembre 1994. Parmi les instruments étudiés, il y a le Louis-Alexandre Clicquot (1734) à Houdan, le Claude Parizot (1739) à Dieppe, et le renommé François-Henri Clicquot à Poitiers (1790). Parmi les instruments étudiés bien connus du XIXe siècle, il y a les orgues Cavaillé-Coll de Saint-Étienne de Caen (1889), de Saint-Ouen à Rouen (1890), et ceux de Saint-Sulpice (1862), Notre-Dame (1868), et Sacré-Coeur (1898) à Paris. L'orgue actuel est le résultat de ces recherches et celui d'une vision partagée. Il combine les talents et les capacités de tous ceux impliqués dans sa planification et sa construction dans une réalisation artistique indivisible.
L'orgue Rosales-Fisk est entièrement construit dans les ateliers de Gloucester en 1995 et est livré à l'École Shepherd le 15 janvier 1996. L'harmonisation débute six semaines plus tard et est réalisée par le personnel des deux firmes pendant les douze mois qui suivent pour se terminer en mars 1997.
La conception visuelle de l'instrument est celle de Charles Nazarian. Inspiré d'exemples classiques français qui présentent des tours verticales, le buffet, en acajou hondurien, s'élève à 15 mètres (49,5 pieds). Les divisions du Grand-Orgue et de la Pédale sont placées au niveau de l'imposte alors que le Positif est logé en dessous, et le Récit, au-dessus. Il intègre une console de trois claviers et pédalier avec 94 tirants de jeux faits d'ébène et de cocobolo. Ceux-ci, placés en amphithéâtre, permettent à l'organiste un accès facile. À l'exemple de quelques-unes des consoles françaises les plus célèbres de la fin du XIXe siècle, les terrasses, élégamment incurvées avec des rebords en cuir doré, entourent les claviers recouverts d'os et d'ébène et le pédalier d'érable et d'ébène. Les contrôles pour les accouplements et les appels sont placés au fronton. Les différents traits historiques que l'on retrouve dans cet orgue coexistent de manière efficace avec les composantes électroniques à la fine pointe de la technologie. Le combinateur électronique à niveaux multiples et le séquenceur offrent trois modes d'opération. En mode « américain », les pistons contrôlant les jeux agissent de la manière habituelle. En mode « français I », certains pistons agissent en mode « appel » tel qu'on les retrouve dans les orgues français du XIXe siècle. En mode « français II », les pistons d'appel ne sont pas affectés par le système de combinaisons.
L'orgue comporte 75 jeux qui contrôlent 4 493 tuyaux faits d'étain poli (tuyaux de façade), d'étain martelé, d'étain gratté, de métal spotted, de plomb martelé, de peuplier, de pin, de tilleul, et de cerisier. Le lien entre les claviers et les tuyaux se fait au moyen d'un mécanisme mécanique direct appelé vergette. Cet ancien système, en usage depuis plus de 700 ans, est encore le moyen le plus fiable, simple et sensible pour fournir à l'organiste un contrôle intime sur la voix des tuyaux.
Au système de traction mécanique du premier clavier, le Grand-Orgue, s'ajoute une machine servopneumatique afin de réduire la résistance ressentie sur les notes lorsque les accouplements à l'octave grave sont utilisés ou que les autres claviers lui sont accouplés. Cette machine a été développée, il y a plusieurs années, par Stephen Kowalyshn de la firme Fisk, et est différente des équipements pneumatiques employés antérieurement. L'emploi de la machine Fisk peut être complètement ignoré permettant ainsi l'utilisation du premier clavier sans assistance pneumatique. Elle a aussi l'avantage de maintenir le contrôle total sur la voix des tuyaux (tout comme l'utilisation sans assistance mécanique) tout en réduisant l'énergie physique requise pour enfoncer les touches.
L'instrument comprend aussi plusieurs caractéristiques sonores distinctives: un grand nombre de jeux flûtés sont présents donnant ainsi à l'orgue cette sonorité douce fondamentale; un complément de jeux de mutation qui ajoutent de la couleur et du piquant aux jeux flûtés avec lesquels ils sont presque toujours combinés; et des anches fougueuses qui peuvent dominer l'ensemble des jeux pour y ajouter du poids et de la puissance.
Les prestigieux aspects visuel et sonore de cet instrument inaugurent une nouvelle ère dans l'interprétation, l'étude, et l'appréciation du roi des instruments avec cet équipement d'une signification unique. L'instrument a été inauguré le 4 avril 1997.
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William Marsh Rice University, commonly known as Rice University, is a private university located on a 300-acre campus in Houston. Opened in 1912, it has an undergraduate focus, and is organized into eleven residential colleges and eight schools of academic study.
University History
Rice University's history began with the demise of Massachusetts businessman William Marsh Rice (1816-1900) who had made his fortune in real estate, railroad development and cotton trading in the state of Texas. Without any direct heir, Rice decided, en 1891, to charter a free-tuition educational institute in Houston, bearing his name, to be created upon his death, earmarking most of his estate towards funding the project.
On the morning of September 23, 1900, Rice, age 84, was found dead, in his New York City home, by his valet, Charles F. Jones (1875-1954). He was presumed to have died in his sleep. Shortly thereafter, a large check made out to Albert T. Patrick (1866-1940), Rice's New York City lawyer, signed by the late Rice, aroused the suspicion of a bank teller, due to the misspelling of the recipient's name. The lawyer informed that Rice had changed his will to leave the bulk of his fortune to him, rather than to the creation of Rice's educational institute. A subsequent investigation led to the arrests of Patrick and of Jones, who had been persuaded to administer chloroform to Rice while he slept. Rice's friend and personal lawyer in Houston, Captain James Addison Baker Jr. (1857-1941), aided in the discovery of what turned out to be a fake will with a forged signature. Jones was not prosecuted since he cooperated with the district attorney, and testified against Patrick. Patrick was found guilty and was convicted of murder in 1901 (he was pardoned in 1912 due to conflicting medical testimony). Baker helped Rice's estate direct the fortune, worth $4.6 million in 1904, towards the founding of the Rice Institute, later the Rice University. The board took control of the assets on April 29 of that year.
In 1907, the Board of Trustees selected Edgar Odell Lovett (1871-1957) to head the Institute, which was still in the planning stages. Lovett accepted and was formally inaugurated as the University's first president on October 12, 1912.
The Shepherd School of Music History
The Shepherd School of Music has existed in name since 1950, with an $8 million endowment by Sallie Shepherd Perkins in honor of her grandfather, Houston banker Benjamin Armistead Shepherd (1814-1891). The School opened in March 1974 under the deanship of Samuel Jones. The school's building, the Alice Pratt Brown Hall which houses three recital halls, practice rooms, rehearsal spaces and teaching studios, was dedicated on October 4, 1991, to honor Alice Nelson Pratt Brown (1902-1984). Prior to its existence, concerts were given in various locations in Houston.
The Edythe Bates Old Recital Hall and Organ
Thanks to a generous gift donated by Edythe Bates Old (1903-1995), it was possible to finish the interior of the hall, which now bears her name, and to begin the construction of the organ. It is a purpose-built organ performance hall, seating approximately 200. The bare room was completed in 1991; a wood floor, loose chairs, and retractable acoustic banner system were added in 1995; the organ itself was installed in 1996; and, diffusive elements were added to the rear wall in 1997 as voicing was completed.
From its earliest conception, in 1992, the grand concert organ was designed to be a singular instrument with a unique identity and voice, capable of playing four centuries of organ literature in a convincing way. After extensive study, organ builder Manuel Rosales, of Rosales Organ Builders, of Los Angeles, and Clyde Holloway, Professor of organ at the Shepherd School of Music, determined that an organ with the tonal characteristics valued in France during the 18th, 19th, and 20th centuries would offer the greatest flexibility in playing the largest segment of the literature. This kind of organ would also adapt to the music of many countries from earlier centuries and from centuries to come. They decided that a relatively large instrument was a necessity, not for reasons of dynamic scope, but to be able to provide all of the essential voices required by a large portion of the organ repertoire.
When it became apparent that the scope of the Shepherd School instrument would exceed that of his firm's largest organ built to date, Manuel Rosales began to explore the possibility of involving the C.B. Fisk company located in Gloucester, MA. Although he intended to retain a central artistic role, his goal became the production of a truly cooperative creation between the two firms. The selection of Fisk was enthusiastically endorsed by Clyde Holloway. Fisk's proven ability in building complex organs in diverse styles led to a redefinition of the project in March 1993, with Fisk as the prime contractor. Detailed planning began in the spring of 1994 with the selection of materials and the initial scaling for the pipes.
A two-week study tour to France took place in September 1994, focusing on French organ-building traditions. Among the instruments examined were those of Louis-Alexandre Clicquot (1734) in Houdan, Claude Parizot (1739) in Dieppe, and the renowned François-Henri Clicquot in Poitiers (1790). Well-known 19th-century instruments studied included Cavaillé-Coll organs at St. Étienne in Caen (1889), St. Ouen in Rouen (1890), and St. Sulpice (1862), Notre-Dame (1868), and Sacré-Coeur (1898) in Paris.The actual organ is the result of this research and shared vision. It combines the talents and capabilities of all those involved in its planning and construction in an indivisible artistic achievement.
The Rosales-Fisk organ was entirely built in Gloucester in 1995, and delivered to the Shepherd School on January 15, 1996. The voicing of the pipes began six weeks later and was carried out by both firms during the twelve months ending in March 1997.
Charles Nazarian created the instrument's visual design. Inspired by French Classical examples that feature dramatic vertical towers, the Honduran mahogany organ case rises to a height of 49.5 feet (15 meters). The Grand-Orgue and Pédale divisions are located at impost level, with the Positif below and Récit above. It integrates a three-manual and pedal console with 94 ebony and cocobolo drawknobs en amphithéâtre, a configuration that puts the control of the stops within easy reach of the performer. Recalling some of the most celebrated consoles of late-19th century French organs, the elegantly curved terraces with gold-embossed leather borders surround the bone and ebony manual keys and the maple and ebony pedal keys. Coupler and ventil controls are introduced in the nameboard. The various historic traits found in this organ coexist effectively with a state-of-the-art computerized stop action and memory systems. The by-now familiar multilevel combination action, augmented by an innovative programmable piston sequencer, offers three specialized modes of operation. In the « américain » mode, the pistons and toe studs control the organ stops in the usual manner. In the « français I » mode, several toe studs function as ventils on a 19th-century French organ, while in the « français II » mode, the ventil pistons cannot be affected by the combination action.
The organ contains 75 stops that control 4,493 pipes built from polished tin (façade pipes), hammered tin, scraped tin, spotted metal, hammered lead, poplar, pine, basswood, and cherry. The link between keyboards and pipes uses a direct mechanical link called tracker. This ancient system has been in use for more than 700 years and is still the most reliable, simple, and sensitive means of giving the performer intimate control over the speech of the pipes.
The tracker action on the lowest manual, the Grand-Orgue, is augmented with a servo-pneumatic machine that reduces the resistance felt on the keys when playing with the sub-octave couplers (octaves graves) or when other manuals are coupled to it. The machine was developed several years ago by Stephen Kowalyshn of C.B. Fisk, and differs from similar pneumatic devices in the past. The Fisk machine can be completely disengaged so that the lowest manual can be played without the assistance afforded by the machine. It also has the advantage of maintaining complete control over the speech of the pipes (as if playing without mechanical assistance) while still mitigating the physical energy required to depress the keys.
The instrument also has several distinctive tonal characteristics: a large number of distinctive flue pipes that give the organ its smooth foundation tone; an effective complement of mutation stops that give color and pungency to the flue pipes with which they are almost always combined; and fiery reeds that can dominate the entire ensemble of pipes to give it weight and power.
The distinguished visual and tonal aspects of this organ inaugurate a new era of performance, study, and enjoyment of the King of instruments with this musical landmark of unparalleled significance. The organ was inaugurated on April 4, 1997.
I. Grand-Orgue |
II. Positif |
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Montre | 16' | Quintaton | 16' | |
Bourdon | 16' | Principal | 8' | |
Montre | 8' | Salicional | 8' | |
Violoncelle | 8' | 4Unda maris | 8' | |
Flûte harmonique | 8' | 3Flûte harmonique | 8' | |
Bourdon | 8' | Cor de nuit | 8' | |
Octave | 4' | Dulciane | 4' | |
Flûte | 4' | Flûte douce | 4' | |
Grosse Tierce | 3 1/5' | Nazard | 2 2/3' | |
Nazard | 2 2/3' | Doublette | 2' | |
Quinte | 2 2/3' | Tierce | 1 3/5' | |
Doublette | 2' | Larigot | 1 1/3' | |
Quarte de Nazard | 2' | Piccolo | 1' | |
Tierce | 1 3/5' | Plein Jeu | IV-VI | |
1Grande Fourniture | II | Cor anglais | 16' | |
2Petite Fourniture | V-VIII | Trompette | 8' | |
3Grand Cornet | V | Cromorne | 8' | |
Bombarde | 16' | Tremulant | ||
Basson | 16' | |||
Trompette | 8' | |||
Basson | 8' | |||
Clairon | 4' |
III. Récit |
Pédalke |
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Bourdon | 16' | Montre | 32' | |
Diapason | 8' | 5Contrebasse | 15' | |
Viole de gambe | 8' | Montre | 16' | |
Voix céleste | 8' | 5Violonbasse | 16' | |
Flûte traversière | 8' | Bourdon | 16' | |
Bourdon | 8' | Quinte | 10 2/3' | |
Prestant | 4' | Octave | 8' | |
Flûte octaviante | 4 | Flûte | 8' | |
Nazard | 2 2/3' | Violoncelle | 8' | |
Octavin | 2' | Bourdon | 8' | |
Tierce | 1 3/5' | Octave | 4' | |
Plein jeu harmonique | II-IV | Flûte | 4' | |
Bombarde | 16' | 5Contre Bombarde | 32' | |
Trompette | 8' | 6Bombarde | 16' | |
Basson-Hautbois | 8' | Basson | 16' | |
Clarinette | 8' | Trompette | 8' | |
Voix humaine | 8' | Basson | 8' | |
Clairon | 4' | Clairon | 5' | |
Trémolo | ||||
Trémolo rapide |
Légende / Legend
1 | série 16' series | |
2 | série 8' series | |
3 | à partir du DO central / from middle C/TD> | |
4 | à partir du deuxième DO / from tenor C/TD> | |
5 | en bois / wood/TD> | |
6 | bois et métal / wood and metal/TD> |
Autres caractéristiques / Other details