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Orgue de tribune / Gallery Organ
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Orgue d'accompagnement / Accompaniment Organ
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Alors que la population augmente dans la région, l'empereur Napoléon III (1808-1873) désire faire construire une église qui serait dédiée à saint Eugène, qui fut pape de 654 à 657, en l'honneur de son oncle, Eugène de Beauharnais (1781-1824).
En 1852, le cardinal Marie-Dominique-Auguste Sibour (1792-1857), archevêque (1848-1857) de Paris, demande la concession du terrain situé, dans le IXe arrondissement, à l'emplacement de l'hôtel des Menus-Plaisirs, disparu en 1830, pour y ériger une église. La paroisse Saint-Eugène est créée le 6 mars 1854 et la pose de la première pierre a lieu en juin 1854. Les plans de l'église sont d'abord confiés à l'architecte Adrien-Louis Lusson (1790-1864) puis repris par l'architecte Louis-Auguste Boileau (1812-1896). L'édifice, construit en 20 mois, en 1854-1855, dans le style du XIIIe siècle, utilise la fonte et le fer pour les piliers et les nervures. Cette utilisation, dans le cadre d'un édifice religieux, est une première en France. Son coût de construction est de 500 000 francs.
Le chanoine Joseph Coquand (1809-1885), secrétaire général de l'archevêché de Paris, prend ses fonctions comme premier curé de la paroisse le 27 décembre 1855, jour de l'inauguration et de la bénédiction de l'église. En raison de problèmes financiers, la ville de Paris achète l'église le 28 avril 1859.
En 1952, le chanoine Bony, curé de la paroisse, demande à Rome l'autorisation de donner à l'église un second vocable, celui de Sainte-Cécile, patronne des musiciens, en raison de sa proximité du Conservatoire de musique.
En 1980, le cardinal François Marty (1904-1994), archevêque (1968-1981) de Paris, autorise le retour de la célébration de la messe en latin malgré l'adoption de la langue française depuis le concile Vatican II. Cette autorisation est confirmée, en 1989, par le cardinal Jean-Marie Lustiger (1926-2007), archevêque (1982-2005) de Paris, qui procède, le 1er octobre 2000, à la consécration de l'église et à la bénédiction du carillon à la suite de travaux de restauration débutés en 1997.
D'abord inscrite le 15 janvier 1975, l'église est classée « monument historique » le 21 mars 1983.
L'édifice
L'édifice mesure 50 mètres (164 pieds) de long par 27 mètres (88,6 pieds) et 25 mètres (82 pieds) de hauteur. La la nef principale mesure 40 mètres (131,2 pieds) de long sur 25 mètres (82 pieds) de large et 23 mètres (75,5 pieds) de haut alors que celle des collatéraux est de 15 mètres (49,2 pieds). Elle ne possède pas de transepts et les chapelles latérales assurent à elles seules le contrebutement des voûtes d'ogive de la nef et des collatéraux. Le diamètre moyen des colonnes en fonte est de 32 cm (12,6 pouces) et l'épaisseur de la fonte est de 2 cm (0,8 pouce). Les colonnes intérieures, les arcs et les galeries des tribunes ainsi que les châssis des fenêtres sont en fonte de fer. Les nervures des voûtes sont en fer forgé avec remplissages de maçonnerie à doubles parois renfermant une couche d'air qui conserve l'égalité de la température.
La façade se compose d'une haute muraille, divisée en cinq parties par des contreforts et dessinant exactement la forme de l'édifice. Au centre, une porte avec voussure et tympan sculpté; en dessus d'elle, un gâble bordé de crochets, puis une rosace et enfin le pignon de la grande nef que domine une statue d'ange. Deux petites portes flanquent, à droite et à gauche, la porte principale; elles sont surmontées, à la hauteur de la voussure de celle-ci, d'une galerie à jour. Les compartiments qui suivent sont ornés d'arcatures, de statues et de deux longues fenêtres. Les côtés de l'église présentent toute une série de pignons. Chacun de ces pignons est percé de deux fenêtres et d'une rosace.
L'intérieur
Le plan intérieur de l'église présente une nef à trois vaisseaux dont les collatéraux, séparés de la nef centrale par des colonnes longilignes, en fonte, sont surmontés de tribunes aussi en fonte peintes et dorées; elle se termine par trois absides : l'abside centrale pour la maître-autel et les deux autres pour les chapelles de la Vierge et de Saint-Eugène dont les statues sont des oeuvres du sculpteur Aimé-Napoléon Perrey (1813-1883). Le maître-autel, en bois peint et doré, s'orne, au soubassement, de statuettes polychromes du Christ, de saint Pierre, de saint Paul, des quatre évangélistes et d'anges tenant des encensoirs. Les fenêtres et les rosaces sont toutes occupées par des verrières, oeuvres de Antoine-François Lusson (1840-1876), d'Eugène Oudinot (1827-1889), et de la maison Laurent-Gsell formée d'Émile Laurent (v1802-?) et de Gaspard Gsell (1814-1904). Les stations du Chemin de croix sont illustrées par des vitraux au premier niveau de l'élévation de la nef. À l'éclat des verrières se joint celui des peintures qui recouvrent toutes les parties de l'église. Les colonnes sont bleu acier et bronze florentin, les arcs et les nervures sont également riches de teintes, les voûtes sont semées d'étoiles. La chapelle des fonts baptismaux contient une belle cuve baptismale, annonçant l'Art nouveau; le couvercle du baptistère s'orne d'anges foulant aux pieds une figure de démon.
Les orgues
L'orgue de tribune
Le grand orgue a été construit en 1854-1855 par la société en commandite J. Merklin-Schutze & Cie., formée en 1853 par Joseph Merklin (1819-1905) et son beau-frère, Friedrich Schutze (1808-1894?). Cette entreprise, alors totalement inconnue en France, est installée à Ixelles-lez-Bruxelles (banlieue sud-est de Bruxelles, près de la Porte de Namur) en Belgique. Elle venait cependant de réaliser une opération commerciale assez étonnante: depuis le 12 janvier 1855, elle achète du facteur Pierre-Alexandre Ducroquet (1798-1877) l'ancienne maison Daublaine-Callinet, de Paris.
Le caractère publicitaire et mondain de l'Exposition universelle de Paris, inaugurée le 15 mai 1855, incite Joseph Merklin à présenter l'instrument dans la section belge. C'est également l'occasion pour sa société de s'imposer en France et d'informer la clientèle de sa fusion avec la maison Ducroquet-Daublaine-Callinet. Les objectifs fixés sont atteints, un très grand nombre d'organistes et de musiciens jouent et entendent l'instrument; la société obtient une médaille de première classe alors que la grande médaille d'honneur revient à la maison Cavaillé-Coll. Joseph Merklin reçoit la décoration de Chevalier de l'Ordre de Léopold de Belgique.
Lorsque l'Exposition universelle ferme ses portes le 15 novembre 1855, l'instrument est provisoirement démonté dans l'attente de l'inauguration de la nouvelle église Saint-Eugène. Dès le début de 1856, les employés de la maison Merklin-Schutze se mettent aussitôt au travail. L'instrument terminé est inauguré le 9 mai 1856, par Georges Schmitt (1821-1900), organiste (1850-1863) de l'église Saint-Sulpice, Renaud de Vilbac (1829-1884), organiste titulaire (1855-1871) de la paroisse, Nicolas-Joseph Wakenthaler (1823-1856), professeur d'orgue à l'École Niedermeyer et plusieurs de ses élèves.
Le 14 mai suivant, Pierre-Louis Dietsch (1808-1865), François-Joseph Fétis (1784-1871), Adrien De La Fage (1801-1862), Louis Niedermeyer (1802-1861) et Joseph D'Ortigue (1802-1866) procèdent à l'expertise; le rapport, rédigé par Adrien De La Fage, est aussitôt édité chez Henri Plon.
Tous les sommiers de l'instrument sont à pistons, y compris les sommiers de la Pédale. C'est une nouvelle génération de sommiers qui se caractérise par une alimentation individuelle des tuyaux ainsi, chaque tuyau possède sa propre soupape. Joseph Merklin avait appris la construction des "kegellade" auprès de Eberhard Friedrich Walcker (1794-1872) à Ludwigsburg pendant sa période d'apprentissage. La traction de l'orgue est entièrement mécanique, le récit tire une machine Barker d'un modèle original et sur laquelle est branchée la machine d'accouplements. Voilà pourquoi les accouplements s'effectuent de bas en haut, le Récit étant le clavier totalisateur.
Cette particularité n'avait pas échappé aux membres du jury de l'Exposition universelle, qui, par ailleurs, avaient clairement analysé le caractère novateur de l'instrument:
« L'orgue de messieurs Merklin et Schutze est une alliance des systèmes allemands et français perfectionnés. Bien que composée de trente-trois jeux répartis sur les quatre divisions, sa puissance sonore est considérable parce qu'elle résulte du bon caractère des timbres et de la juste proportion établie entre eux. »
L'instrument n'est pas sans rappeler le grand orgue de la cathédrale de Murcie, en Espagne,(63 jeux répartis sur quatre claviers et pédalier) dont il apparaît comme une « réduction ». Enfin, le buffet, en osmose parfaite avec l'édifice qui l'entoure, a été dessiné par Louis-Auguste Boileau, architecte de l'église.
La partie instrumentale de l'orgue est classée « monument historique » le 20 mars 1980. L'instrument est restauré en 2005 par Olaf Dalsbaek, de Miribel (Ain), successeur depuis 1976 de la maison Michel-Merklin-Kuhn. Il est bénit le 20 décembre 2005 par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris dans le cadre du 150e anniversaire de l'église.
Cet instrument au caractère hautement historique est tout à fait exceptionnel; il symbolise l'arrivée de Joseph Merklin en France et constitue un maillon essentiel, malheureusement rare, de l'histoire de la facture d'orgues en Europe au milieu du XIXe siècle.
L'orgue d'accompagnement
L’orgue d’accompagnement aurait été construit au XIXe siècle par un facteur inconnu. Il est placé sur la tribune du grand orgue, mais parallèlement à la nef, contre le mur ouest de l’église. Le facteur John Albert Abbey (1843-1930), de Versailles, reconstruit l'instrument vers 1900. En 1993, le facteur François Delangue, de Puteaux (Hauts-de-Seine), restaure l’instrument et en modifie la composition.
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While population increased in the region, Emperor Napoléon III (1808-1873) wanted a church dedicated to St. Eugène, who was pope from 654 to 657, to be built in honor of his uncle, Eugène de Beauharnais (1781-1824).
In 1852, Marie-Dominique-Auguste Cardinal Sibour (1792-1857), archbishop (1848-1857) of Paris, asked for the former site of the Menus-Plaisirs Hotel, demolished in 1830 in the 9th district, be granted for the construction of a church. The St. Eugène parish was established on March 6, 1854, and the cornerstone was laid in June 1854. The plans for the church were first entrusted to architect Adrien-Louis Lusson (1790-1864) then taken over by architect Louis-Augustus Boileau (1812-1896). The building, constructed in 20 months, in 1854-1855, in the 13th-century style, used cast iron and iron for pillars and ribs. This use, in the construction of a religious building, is a first in France. The construction cost was 500,000 francs.
Canon Joseph Coquand (1809-1885), secretary general of the archdiocese of Paris, was appointed as the first parish priest on December 27, 1855, on the day of the inauguration and the blessing of the church. Owing to financial problems, the city of Paris bought the church on April 28, 1859.
Because the church is located near the Conservatory of Music, the parish priest, Canon Bony, asked Rome, in 1952, to grant St. Caecilia, the patron saint of musicians, as second patron saint of the church.
In 1980, François Cardinal Marty (1904-1994), archbishop (1968-1981) of Paris, authorized the return of the celebration of mass in Latin in spite of the adoption of the French language since the Vatican II Council. This authorization was confirmed, in 1989, by Jean-Marie Cardinal Lustiger (1926-2007), archbishop (1982-2005) of Paris, who presided, on October 1, 2000, to the consecration of the church and the blessing of the carillon following restoration work started in 1997.
First listed as of January 15, 1975, the church was classified as a 'historic monument' on March 21, 1983.
The Building
The building is 154 feet (50 meters) long by 88.6 feet (27 meters) wide and 82 feet (25 meters) high. The main nave is 131.2 feet (40 meters) long by 82 feet (85 meters) wide and 75.5 feet (23 meters) high while the lateral naves are 49.2 feet (15 meters) high. There are no transepts and lateral chapels are the only buttresses for the vaults. The pillars of the nave, in cast iron, are 12.6 inches (30 cm) in diameter by 0.8 inch (2 cm) thick. The interior columns, archways and galleries as well as the window frames are in cast iron. The vault ribs are in wrought iron covered with double walls filled with masonry to create a blanket of air to maintain a steady temperature.
The façade is a high wall divided into five sections by buttresses tracing the exact shape of the building. In the center, a door with a sculpted arch molding and tympanum; above it, a gable bordered by hooks, a rose window and the gable of the main nave topped by the statue of an angel. The main door is flanked by two small doors topped by an open gallery. The other sections have archways, statues, and two high windows. The sides of the church present a series of gables. Each of them has two windows and a rose window.
The Interior
The interior floor plan of the church presents a three-vessel nave whose side aisles, separated from the main nave by cast iron tapered columns, are topped by painted and gilded cast-iron galleries; the three naves end with three apses; the high altar is located in the main apse while the two others are for the Virgin chapel and St. Eugène chapel for whom Aimé-Napoléon Perrey (1813-1883) executed the statues. The wooden painted and gilded high altar is decorated, in its lower section, with polychrome statues of Christ, St. Peter, St. Paul, the four Evangelists and with angels holding censers. The windows and rose windows all containing stained glass executed by Antoine-François Lusson (1840-1876), d'Eugène Oudinot (1827-1889), and the Laurent-Gsell firm composed of Émile Laurent (c1802-?) and Gaspard Gsell (1814-1904). The Stations of the Cross are illustrated in stained glass windows installed at the first level of the nave. To the brightness of the stained glass windows, large paintings are on every wall of the church. The pillars are painted steel blue and Florentine bronze, the archways and the ribs are also brightly painted while the vaults are star-studded. The baptistry chapel houses a nice baptismal vat, announcing the Art nouveau; the cover of the baptismal font is decorated with angels trampling a demon's face.
The Organs
The Gallery Organ
The gallery organ was built in 1854-1855, by Merklin-Schutze firm established in 1853 by Joseph Merklin (1819-1905) and his brother-in-law, Friedrich Schutze (1808-1894?). This organbuilding firm, at the time totally unknown in France, was operating from Ixelles-lez-Bruxelles (southwestern suburb of Brussels, near the Namur Door) in Belgium. The firm had just completed, on January 12, 1855, the acquisition from organbuiulder Pierre-Alexandre Ducroquet (1798-1877) of the old Daublaine-Callinet organbuilding firm in Paris.
The public relations nature of the Paris World Fair, inaugurated on May 15, 1855, encouraged Joseph Merklin to enter the instrument as a Belgian instrument in the competition. It was also the occasion for the organbuilding firm to make a name for itself in France and to inform his clients about his acquisition of the Daublaine-Callinet firm. The objectives were met because many organists had the chance to play and hear the instrument. The firm was awarded a First Class Prize while Cavaillé-Coll received the First Grand Prize. Personally, Joseph Merklin was awarded the title of Knight of the Leopold of Belgium Order.
When the Paris World Fair ended on November 15, 1855, the instrument was dismantled and temporarily stored awaiting for its installation in St. Eugène Church. Very early in 1856, Merklin-Schutze employees were busy installing the instrument which was inaugurated on May 9, 1856, by Georges Schmitt (1821-1900), organist (1850-1863) in St. Sulpice, Renaud de Vilbac (1829-1884), parish organist (1855-1871), Nicolas-Joseph Wakenthaler (1823-1856), organ teacher at the Niedermeyer School and by many of his students.
On the following May 14th, Pierre-Louis Dietsch (1805-1865), François-Joseph Fétis (1784-1871), Adrien De La Fage (1801-1862), Louis Niedermeyer (1812-1861), and Joseph D'Ortigue (1802-1866) received the instrument. The report, prepared by Adrien De La Fage, was published by Henri Plon.
All windchests are cone-valve chests, including the ones for the Pedal division. It is a new generation of windchests characterized by the individual pipe wind supply principal where each pipe has its own valve. Joseph Merklin learned about cone-valve windchests from Eberhard Friedrich Walcker (1794-1872) in Ludwigsburg during his apprentice years. The action is completely mechanical. A special Barker machine is used on the Récit division on which the coupler machine is linked. It is the reason why the coupling is done from the bottom to the top keyboard, the Récit manual being the accumulating keyboard.
This distinctive feature had been noted by the jury at the World Fair and was analyzed as follows:
The Merklin-Schutze instrument is a combination of both German and French advanced systems. The power of this 33-stop 4-division instrument is significant because it is the result of a good tonal structure and the right proportion between the various voices.
This instrument reminds the one in Murcia Cathedral, in Spain (63 stops over 4 manuals and pedal) of which it appears to be a "miniature". The organcase, in perfect osmosis with the surrounding building, was designed by Louis-Auguste Boileau, the church architect.
The instrument's musical elements were classified as « historic monuments» on March 20, 1980. It was restored by Olaf Dalsbaek, from Miribel (Ain), successor, since 1976, of the Michel-Merklin-Kuhn firm. The instrument was blessed on December 20, 2005, by André Vingt-Trois (1942-), archbishop (2005-2017) of Paris, on the occasion of the 150th anniversary of the parish.
This exceptional and highly historical organ symbolizes Joseph Merklin's arrival in France and is an essential link, unfortunately rare, in the organbuilding history in Europe in the mid 19th century.
The Accompaniment Organ
The accompaniment organ was probably built in the 19th century by an unknown organbuilder. It is installed on the main organ gallery, but parallel to the nave, against the west wall of the church. Organbuilder John Albert Abbey (1843-1930), from Versailles, rebuilt the instrument by 1900. In 1993, organbuilder François Delangue, of Puteaux (Hauts-de-Seine), restored the instrument and modified the tonal structure.
I. Grand-Orgue |
II. Positif |
|||
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Bourdon | 16' | Dulciana | 8' | |
Principal | 8' | Bourdon | 8' | |
Montre | 8' | Prestant | 4' | |
Flûte ouverte | 8' | Octavin | 2' | |
Corne de chamois | 8' | Bombarde | 16' | |
Flûte octaviante | 4' | Trompette | 8' | |
Prestant | 4' | Clairon | 4' | |
Doublette | 2' | |||
Plein Jeu | IV |
III. Récit |
Pédale |
|||
---|---|---|---|---|
Bourdon | 8' | Contrebasse | 16' | |
Flûte harmonique | 8' | Soubasse | 16' | |
Dolce | 8' | Flûte | 8' | |
Viole de gambe | 8' | Flûte | 4' | |
Flûte harmonique | 4' | Bombarde | 16' | |
Salicional | 4' | Trompette | 8' | |
Cornet | II-IV | Clairon | 4' | |
Cor anglais | 16' | |||
Trompette | 8' | |||
Voix humaine | 8' |
I. Grand-Orgue |
||||
---|---|---|---|---|
Ancienne composition / |
Nouvelle composition / |
|||
Montre | 8' | Soubasse | 16' | |
Bourdon | 8' | Montre | 8' | |
Flûte harmonique | 8' | Bourdon | 8' | |
Prestant | 4' | Prestant | 8' | |
Plein-jeu | III | Plein-jeu | III | |
Trompette | 8' |
II. Récit expressif / enclosed |
||||
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Ancienne composition / |
Nouvelle composition / |
|||
Gambe | 8' | Flûte à cheminée | 8' | |
Voix céleste | 8' | Flûte | 4' | |
Flûte octaviante | 4' | Doublette | 2' | |
Voix humaine | 8' | Cornet | II | |
Trompette | 8' | Trompette | 8' | |
Clairon | 4' |
Pédale |
|
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