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Orgue de tribune / Galley Organ Casavant, Opus 26/1032, 1891/1924/1991/2002
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Orgue de la chapelle / Chapel Organ Guilbault-Thérien, Opus 17, 1982
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Bien que datant du XIXe siècle, la basilique Notre-Dame de Montréal est la digne descendante des grandes cathédrales du Moyen-Âge. Comme Chartres ou Notre-Dame de Paris, elle fut érigée par la ferveur et la piété populaires. Sa construction s'étale sur de nombreuses années et reflète le talent et l'inspiration des artistes et des artisans du temps. Comme ses consoeurs européennes, elle est le centre de la vie religieuse et culturelle. Sa silhouette élégante domina la ville pendant longtemps.
Aujourd'hui, malgré les grands édifices qui l'entourent, la basilique Notre-Dame conserve toute sa majesté d'antan. Ses deux tours jumelles s'élèvent au-dessus de la place d'Armes, au coeur du Vieux-Montréal.
L'histoire de la paroisse Notre-Dame remonte aux origines de Montréal, fondée en 1642 par Paul de Chomedey de Maisonneuve. Jusqu'en 1659, les fidèles se rassemblent dans une modeste chapelle en bois. Elle est desservie par les Jésuites jusqu'en 1657, date de l'arrivée des Sulpiciens à Ville-Marie (Montréal) qui prennent en charge la paroisse. On construit ensuite une autre chapelle, attenante à l'Hôtel-Dieu, le premier hôpital de la ville.
Une église en pierre est construite entre 1672 et 1683. Elle était située en plein centre de l'actuelle rue Notre-Dame. Vers 1800, faute d'espace, beaucoup de paroissiens doivent entendre la messe sur le parvis. Il est question de reconstruction, mais ce n'est qu'en 1823 que les marguillers approuvent les plans de l'église actuelle. De cette église de style baroque, il ne reste que le maître-autel, attribué au sculpteur Louis Quévillon, qui orne maintenant la chapelle Sainte-Marguerite-d'Youville dans la basilique.
Construite entre 1824 et 1829, la basilique Notre-Dame est l'oeuvre d'un architecte irlandais et protestant, James O'Donnell. Établi à New York, il jouissait alors d'une excellente réputation en matière de style gothique. Décédé en 1830, O'Donnell n'eut pas le plaisir de voir son oeuvre achevée. Mais s'étant converti au catholicisme avant de mourir, il peut être enterré sous la basilique. L'emplacement est indiqué par une plaque en marbre.
L'architecte John Ostell termine la construction des tours. La première à être complétée, en 1841, est la tour ouest, baptisée « Persévérance » et haute de 63 mètres (206,7 pieds) qui loge le gros bourdon. Cette célèbre cloche d'airain, surnommée « Le Gros Bourdon » et appelée « Jean-Baptiste » pèse 11 263 kg.(24 830 livres). Elle ne résonne que pour les grandes occasions. La seconde tour, terminée en 1843, appelée « Tempérance », mesure 61 mètres (200 pieds) de hauteur et abrite un carillon de 10 cloches.
À la sobre élégance de l'extérieur succède un fabuleux décor polychrome à l'intérieur. Benjamin-Victor Rousselot, curé de Notre-Dame entre 1866 et 1882, supervise les travaux d'embellissement de l'intérieur du bâtiment, dont la principale inspiration est la Sainte-Chapelle de Paris. Confié à Victor Bourgeau, le projet de décoration est déposé dès 1869, mais les travaux ne débutent qu'en 1872 et emploient une cinquantaine d'artisans ainsi que la participation des plus grands artistes du temps. Ils seront complétés vers 1880.
La voûte, constellée d'étoiles de feuilles d'or, est percée de trois rosaces en verre peint. Commandés en 1929 pour le centenaire de l'église, les flamboyants vitraux du rez-de-chaussée retracent l'histoire de Ville-Marie et furent exécutés à l'atelier Francis Chigot de Limoges, en France, selon les dessins de Jean-Baptiste Lagacé.
Semblant se découper dans un ciel bleu d'azur, le maître-autel est surmonté d'un retable impressionnant, issus tous deux de l'atelier du sculpteur Henri Bouriché. Dessinée par Bouriché, modifiée par Bourgeau et sculptée en noyer noir, la chaire, réalisée entre 1883 et 1885, incorpore plusieurs statues de Louis-Philippe Hébert, dont celles de Ézéchiel et Jérémie à la base.
Véritable galerie d'art religieux, la basilique Notre-Dame possède un charme tout à fait personnel et irrésistible. Sa beauté et la richesse de ses ornements n'ont pas d'équivalent.
La chapelle
La chapelle de Notre-Dame-du-Sacré-Coeur est ajoutée, à la basilique, en 1891. Connue comme la « chapelle des mariages », elle était un étonnant mélange de styles gothique, baroque et byzantin. Un incendie la détruisit presque entièrement le 8 décembre 1978. Reconstruite en bois de tilleul, elle incorpore des vestiges de l'ancienne chapelle restaurés minutieusement avec des éléments modernes, dont un imposant retable de Charles Daudelin. Composé de 32 panneaux de bronze pesant plus de 20 tonnes, il représente la difficile ascension de l'homme vers le ciel.
Les orgues
L'orgue de tribune
La musique d'orgue a presque 300 ans d'histoire à la basilique Notre-Dame de Montréal. Le premier orgue, à un clavier manuel et dénué de pédalier, est installé entre 1701 et 1705, année où l'on commence à verser un salaire d'organiste. C'est sur cet instrument que Jean Girard, clerc sulpicien, arrivé de Bourges en 1724, jouera pendant plus de 40 ans. C'est lui qui apportera, en Nouvelle-France, le manuscrit maintenant connu sous le nom de Livre d'orgue de Montréal, le plus important manuscrit connu de musique française au XVIIe siècle. En 1792, la paroisse fait l'acquisition d'un instrument du facteur anglais Holland deux claviers, pas de pédalier, sept jeux). Le troisième instrument arrive à Notre-Dame à la suite d'un échange avec la paroisse de Nicolet. Il est plus considérable que le précédent puisqu'il possède 23 jeux répartis entre deux claviers et un pédalier. Il servira jusqu'en 1858, année de l'installation d'un Warren de 20 jeux, instrument dont le devis original comptait 89 jeux répartis entre quatre claviers et pédalier!
En 1885, le curé de la paroisse veut doter l'église du plus gros orgue du pays. Après avoir hésité sur le choix du facteur, le contrat est finalement accordé aux frères Samuel et Claver Casavant qui auront six ans pour réaliser le projet. À cette époque, les frères Casavant cherchent à appliquer, à l'orgue de Notre-Dame, les découvertes du Français Albert Peschard. Un des frères se rend même en Europe pour s'enquérir des derniers développements concernant l'utilisation de l'électricité dans l'orgue. L'instrument de Notre-Dame est le premier grand quatre-claviers (81 jeux) des frères Casavant. Il est entendu la première fois, à la messe de Pâques, le 29 mars 1891. Il est inauguré en mai suivant par une série de trois récitals d'un organiste américain. L'orgue de Notre-Dame n'est cependant pas complètement électrifié: seuls le tirage des jeux et les pédales de combinaisons sont électriques. Quant à l'orgue lui-même, il est à traction mécanique et utilise des machines pneumatiques.
Les frères Casavant apportent des modifications à l'orgue en 1924 : électrification et console neuve, ajout de la Bombarde 32' et de la Harpe (qui disparaîtra plus tard); le Positif devient expressif sous l'influence d'organismes éminents dont Marcel Dupré; on ajoute même les sommiers de la sixième octave si bien que les claviers compteront 73 notes. En 1936, on doit remplacer les sommiers originaux puisque la paroisse, durement touchée par la crise économique, ne chauffe pas suffisamment la basilique. En 1957, l'Euphone 16' du Récit disparaît au profit d'un Larigot 1 1/3'. On installe la troisième console en 1962 et neuf ans plus tard, les sommiers retrouvent 61 notes et l'on enlève l'expression du Positif. Finalement, en 1991, Casavant Frères apporte de nouveaux changements : ajout d'un combinateur électronique et de huit nouveaux jeux.
Signalons que plusieurs des grands organistes ont défilé à la tribune de cet orgue.
L'orgue de la chapelle
Lorsque la chapelle est construite, elle est dotée du Warren de 20 jeux de la basilique lorsque sera installé le grand Casavant. On ne sait pas ce qu'il advint de cet instrument, mais toujours est-il que c'est un petit Casavant (Opus 1727, 1943) de peu d'intérêt qui disparut lorsque la chapelle est incendiée en 1978.
De pair avec la reconstruction de la chapelle, on installe, en 1982, un orgue Guilbault-Thérien, de 25 jeux répartis entre deux claviers et pédalier. Il est inauguré par Pierre Grandmaison le 10 février 1983.
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Though dating back to the 19th century, Montreal's Notre-Dame Basilica is a worthy descendant from the great Middle Ages cathedrals. Like Chartres or Notre-Dame in Paris, it was erected in response to the fervor and piety of the population. Its construction, staggered over a number of years, reflects the talents of the artists and craftsmen of the day. Like the European institutions, it was the center of religious life and culture. Its elegant silhouette long dominated the city.
Today, despite the large buildings which have sprung up around it, Notre-Dame Basilica still retains the majesty of its early years, its twin towers rising above Place d'Armes in Old Montreal.
The history of Notre-Dame parish dates back to the origins of Montreal, which was founded in 1642 par Paul de Chomedey de Maisonneuve. Until 1659, the residents gathered in a simple wooden chapel. It was ministered to by the Jesuits until 1657, the year the Sulpicians arrived in Ville-Marie (Montreal) and took over the parish. Another chapel, adjoining the Hôtel-Dieu - the city's first hospital - was then built.
A stone church was built between 1672 and 1683. It was located right in the middle of the actual Notre-Dame Street. By 1800, many parishioners had to listen to mass in the square in front of the chapel because it was no longer large enough to accommodate everyone. Even though there was talk of building a new structure, it was not until 1823 that the churchwardens approved the plans for today's church. Only the high altar executed by sculptor Louis Quévillon remains of this original church. It is now housed in the basilica in the chapel dedicated to Marguerite d'Youville.
Built between 1824 and 1829, Notre-Dame Basilica is the work of James O'Donnell. An Irish Protestant architect from New York City, he had earned an excellent reputation for his Gothic buildings. He died in 1830 before his masterpiece was completed. However, as he had converted to Catholicism before his death, he was buried beneath the basilica. The location of his tomb is marked by a marble plaque.
Architect John Ostell completed the construction of the towers. The first tower to be completed, in 1841, the West Tower, 206,7 feet (63 meters) high called « The Perseverance », houses « Le Gros Bourdon », a huge bronze bell nicknamed « Jean-Baptiste ». It weighs 24,830 pounds (11,263 kg) and only rings out on important occasions. The East Tower, known as « The Temperance » and completed in 1843, is 200 feet (61 meters) high and houses a ten-bell carillon.
The subdued elegance of the exterior gives way to the interior's magnificent polychrome decor. Benjamin-Victor Rousselot, Notre-Dame's parish priest from 1866 until 1882, supervised the work inside the basilica. Its design was inspired in large part by the Saint-Chapelle in Paris. The interior decor was entrusted to Victor Bourgeau who presented his concept in 1869, but work did not start until 1872 and enlisted the services of some fifty artisans and some of the finest artists of the day. Work was completed about 1880.
The vault, dotted with gold-leaf stars, is perforated by three painted glass rose windows. Ordered in 1929 for the church's centenary, the flamboyant stained-glass windows on the ground floor depict the social and religious history of Ville-Marie. They were executed in Francis Chigot's workshop in Limoges (France) from designs by Jean-Baptiste Lagacé.
Appearing to rise into a blue sky, the high altar stands beneath an impressive altarpiece. Both the altar and the altarpiece are from the workshop of sculptor Henri Bouriché. Designed by Bouriché, revised by Bourgeau and sculpted from black walnut, the pulpit, built between 1883 and 1885, incorporates several statues by Louis-Philippe Hébert, including Ezechiel and Jeremiah at the base.
A genuine gallery of religious art, Notre-Dame Basilica has a thoroughly individual and irresistible charm. Its beauty and rich ornamentation are unequaled.
The Chapel
The Our Lady of the Sacred Heart Chapel was added to the basilica in 1891. Known as the "Wedding Chapel", it was a striking blend of Gothic, Baroque and Byzantine styles. The chapel was severely damaged by a fire on December 8th, 1978. Rebuilt of linden wood, it integrates meticulously restored remnants from the original chapel with modern elements, including an impressive reredos by Charles Daudelin. Incorporating 32 bronze panels weighing more than 20 tons, it depicts man's difficult ascension into heaven.
The Organs
The Gallery Organ
Organ music has almost a 300-year history at Notre-Dame Basilica in Montreal.
The first organ, a one-manual instrument without pedals was installed between 1701 and 1705, the year when a salary was first paid to an organist. It is on this instrument that, Jean Girard, a Sulpician priest, emigrated from Bourges in 1724, will play for more than 40 years. He would bring, into the New France, a manuscript now known as Livre d'orgue de Montréal, the most important French music manuscript in the 17th century. In 1792, the parish purchased an instrument built by Holland, an English organbuilder (2 manuals, no pedal, 7 stops). A third instrument was installed following a switch with Nicolet parish. The instrument was larger since it was a 23-stop instrument over 2 manuals and pedal. It was used until 1858 when a Warren 20-stop instrument was installed. The original stoplist called for an 89-stop instrument over 4 manuals and pedal!
In 1885, the parish priest wanted the church to have the largest organ in the country. After hesitance, the contract was awarded to Samuel and Claver Casavant who would have 6 years to complete the project. At that time, the Casavant brothers wanted to use the discoveries made by Frenchman Albert Peschard to the Notre-Dame instrument. One of the brothers would even go to Europe to inquire about the latest developments concerning the use of electricity in organbuilding. The Notre-Dame instrument would be the first 4-manual (81 stops) Casavant instrument. It was heard for the first time, on Easter Sunday, March 29, 1891, and inaugurated by a series of 3 concerts given by an American organist. The organ is not completely electrified: only the stop action and the combination pedals are electrified while the mechanical action organ uses pneumatic machines.
Casavant brothers modified the organ in 1924: a new electrified console, the addition of the 32' Bombarde and Harp (which will later be removed); the Positif was enclosed under the influence of well-known organists namely Marcel Dupré; windchests were added for the 6th octave so that manuals have 73 notes. In 1936, original windchests had to be replaced because the parish, greatly affected during the economic crisis period, has reduced the heating in the basilica. In 1957, the 16' Euphone (Récit) was removed and replaced by a 1 1/3' Larigot. A third console was installed in 1962 and nine years later, the windchests were brought back to 61 notes and the expression was removed from the Positif. Finally, in 1991, Casavant Frères brought new changes: the addition of an electronic combinator and eight new stops.
Many world renowned organists have played this instrument.
The Chapel Organ
When the chapel was built, it received the 20-stop Warren instrument installed in the basilica when the new large Casavant instrument arrived. We do not know what happened to this instrument. When a fire destroyed the chapel, in 1978, the instrument destroyed was a small Casavant (Opus 1727, 1943) of no interest.
In the rebuilding process, a Guilbault-Thérien instrument was installed in 1982. It is a 25-stop instrument with two manuals and pedal. Pierre Grandmaison inaugurated the organ on February 10th, 1983.
II. Grand Orgue |
III. Récit |
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1,4Montre | 32' | Gambe | 16' | |
Montre | 16' | Principal | 8' | |
Bourdon | 16' | Flûte harmonique | 8' | |
Montre | 8' | Bourdon | 8' | |
Principal | 8' | Viole de gambe | 8' | |
Salicional | 8' | Voix céleste | 8' | |
Gambe | 8' | Octave | 4' | |
Flûte | 8' | Violina | 4' | |
Bourdon | 8' | Flûte octaviante | 4' | |
Prestant | 4' | Nazard | 2 2/3' | |
Violon | 4' | Octavin | 2' | |
Flûte harmonique | 4' | 2Tierce | 1 3/5' | |
Quinte | 2 2/3' | Larigot | 1 1/3' | |
Doublette | 2' | Piccolo | 1' | |
Sesquialtera 2 2/3' | II | Mixture 2' | III | |
1Grande Fourniture 2 2/3' | II-V | 3Cornet 8' (TC) | V | |
Fourniture 2' | V | Basson | 16' | |
1Cymbale 2/3' | IV | Trompette | 8' | |
1,5Grand Cornet 16' | V | 3Hautbois-Basson | 8' | |
1Cornet 8' | V | 3Voix humaine | 8' | |
Bombarde | 16' | Clairon | 4' | |
3Posaune | 8' | Tremblant | ||
Trompette | 8' | |||
Basson | 8' | |||
Clairon | 4' |
IV. Solo |
I. Positif |
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Quintaton | 16' | Bourdon | 16' | |
Violoncelle | 8' | Principal | 8' | |
Flûte traversière | 8' | 1Bourdon | 8' | |
Salicional | 8' | Mélodie | 8' | |
Salicional céleste (TC) | 8' | Quintaton | 8' | |
Flûte harmonique | 4' | Salicional | 8' | |
Piccolo | 2' | Gemshorn | 4' | |
Mixture 1' | III | Flûte harmonique | 4' | |
1Cornet 8' (GO) | V | 2Nazard | 2 2/3' | |
Clarinette | 8' | Piccolo | 2' | |
Musette | 8' | 2Tierce | 1 3/5' | |
3Tuba mirabilis | 8' | Carillon 2 2/3' | III | |
Tuba clairon | 4' | 2Plein jeu harmonique 2' | III-V | |
1Trompette en chamade (ext) | 16' | Basson | 16' | |
1Trompette en chamade | 8' | Cromorne | 8' | |
1Trompette en chamade (ext) | 4' | Cor anglais | 8' | |
Tremblant |
Pédale |
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Principal | 32' |
1Résultante | 32' |
1Montre (GO) | 16' |
Flûte | 16' |
Contrebasse | 16' |
Violon | 16' |
Bourdon | 16' |
Bourdon doux (GO) | 16' |
1Grande Quinte | 10 2/3' |
Violoncelle (ext) | 8' |
Flûte (ext) | 8' |
Bourdon | 8' |
Flûte (ext) | 4' |
Bourdon (ext) | 4' |
Mixture 2 2/3' | III |
Contre bombarde | 32' |
Bombarde | 16' |
Basson | 16' |
Trompette (ext) | 8' |
Basson (ext) | 8' |
Clairon | 4' |
Légende / Legend
1 | Jeu neuf ou révisé en 2002 / New or revised stop in 2002 | |
2 | Ajout en 1991 / Addition in 1991 | |
3 | Jeux Cavaillé-Coll / Cavaillé-Coll stop | |
4 | Pédale 32' + Montre 16' GO / Pedal 32' + Montre 16' GO | |
5 | Cornet 8' GO à partir de c1 / Cornet 8' GO from c1 |
Notes additionnelles / Additional notes:
Autres caractéristiques / Other details:
Grand Orgue |
Positif |
|||
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Bourdon | 16' | Flûte à cheminée | 8' | |
Montre | 8' | Prestant | 4' | |
Bourdon | 8' | Flûte conique | 4' | |
Prestant | 4' | Flûte à bec | 2' | |
Flûte à cheminée | 4' | Larigot | 1 1/3' | |
Nasard | 2 2/3' | Plein-jeu | IV | |
Doublette | 2' | Sesquialtera | II | |
Tierce | 1 3/5' | Cromorne | 8' | |
Fourniture | V | Tremblant | ||
Trompette | 8' |
Pédale |
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Bourdon | 16' |
Flûte en montre | 8' |
Bourdon | 8' |
Prestant | 4' |
Basson | 16' |
Trompette | 8' |
Clairon | 4' |