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Casavant, Opus 792, 1919 Létourneau, 1989 Mailhot, 2000
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East Broughton est une municipalité située à environ 90 kilomètres (56 milles) au sud de la ville de Québec et 25 km (21 milles) au nord-est de Therford Mines dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Historique
L'acte constitutionnel de 1791 divisa le Canada en deux provinces et imposa un nouveau régime foncier par la création des cantons où il était possible, contrairement aux seigneuries, d'acheter son terrain. La proclamation du 7 février 1792 de Sir Alured Clarke, lieutenant-gouverneur du Bas-Canada en l'absence de Lord Dorchester, détermina le mode de constitution et de concession des terres de la Couronne. Il divisa le Bas-Canada en 21 comtés répartis de chaque côté du fleuve Saint-Laurent et chaque comté étant formé de cantons. Chaque canton possède une superficie de 259 000 kilomètres carrés (100 milles carrés), soit 16 kilomètres (10 milles) de côté, et comporte 10 rangs de 56 lots pour un total de 560 lots par canton.
Le 23 juillet 1792, Henry Junken, marchand, et son oncle, William Hall, chapelier, tous deux loyalistes de Québec, présentent une pétition pour obtenir l'établissement d'un canton situé en arrière des seigneuries de Saint-Joseph et Sainte-Marie de Beauce. Ce nouveau canton, nommé Broughton, est arpenté par Samuel Holland qui soumet son rapport le 14 mars 1794. L'appellation « Broughton » rappelle une ville d'Angleterre, dans le comté de Lancaster. Une autre explication quant à cette appellation serait en l'honneur du navigateur William Robert Broughton (1763-1822), compagnon de George Vancouver en 1791.
Dès mai 1795, Junken et Hall divisent le canton en lots, s'assurent de contrôler les concessions et recrutent des associés dans le but de le faire défricher. L'acte d'association est signé le 15 février 1796. L'érection officielle du canton est faite le 26 octobre 1800. Il est rattaché au comté de Buckingham jusqu'au 18 juin 1845 où il est annexé au comté de Beauce.
Les premiers colons arrivent dans la région vers 1817 afin d'y aménager des chemins reliant le nouveau canton à ses voisins. Par la suite, le peuplement se fait à un rythme très lent à partir de 1839 par des Beaucerons, car la plupart des propriétaires sont plus intéressés par la spéculation foncière et l'exploitation forestière. De plus, le prix d'achat élevé, l'éloignement et le manque de moyens de communication sont des facteurs qui retardent la colonisation.
À la suite de la dissolution du régime seigneurial le 18 décembre 1854, le canton de Broughton devient une municipalité le 1er juillet 1855. À partir de cette date, le territoire est plusieurs fois morcelé. Ainsi, le 5 décembre 1902, la municipalité de la paroisse Sacré-Coeur-de-Jésus est constituée.
La découverte et la mise en exploitation, entre 1886 et 1896, de mines d'amiante incitent les gens à venir s'installer dans la région. Ce peuplement donne lieu à la constitution, le 27 octobre 1908, de la municipalité du village par détachement de celle de la paroisse. En 1931, la municipalité du village adopte le nom de East Broughton. Le 1er janvier 1955, le village d'East Broughton Station se détache de la paroisse. Enfin, les municipalités de East Broughton Station et East Broughton se fusionnent le 6 janvier 1994.
L'exploitation des mines cesse en 1986 entraînant une diminution au niveau de la population ouvrière et une diversification dans les activités économiques.
L'église
À compter du 11 octobre 1849, les catholiques du canton de Broughton sont confiés au curé de Saint-Sylvestre; et ce n'est qu'en 1851 que l'abbé John Caulfield O'Grady organise la mission Saint-Pierre qui sera connue sous le nom de « Grand Broughton ». En 1852, il vient célébrer la messe dans la maison de Jean-Baptiste Dodier sise dans le 7e Rang Nord.
Une première chapelle est construite en 1854 dans le secteur Ouest du canton. En mai 1857, les résidents du secteur Est adressent une requête à Mgr Pierre-Flavien Turgeon, archevêque de Québec, sollicitant l'érection d'une paroisse et la permission d'y construire une chapelle. À cette fin, un terrain est cédé par Jean-Baptiste Dodier et Richard Lessard pour y construire une chapelle. L'archevêque s'oppose au projet en 1858 de peur qu'elle nuise à la nouvelle paroisse de Saint-Pierre créée il y a quelques années à peine.
Une nouvelle requête est adressée le 22 décembre 1869 à Mgr Charles-François Baillargeon, archevêque de Québec, sollicitant la permission de construire une chapelle et la nomination d'un prêtre résident. Des discussions quant à l'emplacement de cette chapelle durent durant toute l'année 1870 et ce n'est que le 14 décembre que le tout se règle par l'achat par Jean-Baptiste Dodier et Bénoni Bouthilliet, au coût de 400 $, du terrain nécessaire pour la chapelle, lequel terrain appartenait à François-Xavier Lessard. Les acheteurs font cession du terrain à l'abbé François Gagné au cours des jours suivants à condition que la nouvelle chapelle soit dédiée au Sacré-Coeur-de-Jésus.
La chapelle mesure 13,7 mètres (45 pieds) de longueur sur 10,7 mètres (35 pieds) de largeur et 4 mètres (13 pieds) au-dessus des lambourdes avec une sacristie de 2,3 mètres carrés (25 pieds carrés). Le projet de construction se met en branle le 26 janvier 1871 et, en juin 1871, l'abbé Alphonse Pelletier est nommé premier missionnaire résident. Le 27 mars 1872, la chapelle, la sacristie et le presbytère sont complètement détruits par le feu. Privés de chapelle, les résidents assistent à la messe qui est célébrée chez Bénoni Bouthillet. Une nouvelle chapelle est construite au mois de juin de la même année. Une maison voisine, appartenant à Sidras Lessard, sert de sacristie et de presbytère.
Le curé, l'abbé Bernard-Claude-Guy, recommande à son évêque, en 1874, en 1876 et en 1879, la construction d'une nouvelle chapelle, car l'ancienne est devenue trop petite et vétuste. Chaque fois, la requête est rejetée. Le 7 novembre 1881, une nouvelle requête est adressée à Mgr Alexandre Taschereau, archevêque de Québec, sollicitant l'érection canonique de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. Le décret d'érection est émis le 30 décembre 1881. L'érection civile aura lieu le 19 février 1883.
Une requête est adressée le 8 février 1883 à Mgr Taschereau sollicitant la permission de construire une église. L'autorisation est accordée le 17 février suivant. L'édifice en bois, 49,4 mètres (162 pieds) de longueur sur 16,5 mètres (54 pieds) de largeur, est construit au sud-ouest de la chapelle existante et est bénit le 4 décembre 1884 par l'abbé François-Xavier Tessier, curé de Beauceville. Cette église et le presbytère sont complètement détruits par le feu le 15 mars 1906. Les pertes sont évaluées à plus de 30 000 $ dont une partie était couverte pour une valeur de 18 000 $ par les assurances. Un hangar temporaire de 30,5 mètres (100 pieds) sur 12,2 mètres (40 pieds), avec 500 chaises, sert d'église en attendant la nouvelle.
Aussitôt après, un projet de construction d'une nouvelle église est mis de l'avant. Les plans du nouvel édifice sont confiés aux architectes Pierre Lévesque (1880-1945) et David Ouellet (1844-1915), de Québec. L'église, de pierre, en style roman et en forme de croix grecque, mesure 61 mètres (200 pieds) de longueur sur 21,3 mètres (70 pieds) de largeur et sa flèche s'élance à près de 61 mètres (200 pieds) de hauteur. Le contrat de construction est accordé en septembre 1906 à Elzéar Métivier & Fils, de Saint-Damien, au coût de 53 000 $. À ce montant, s'ajoute 4 000 $ pour l'ameublement. Les travaux s'échelonnent de 1906 à 1908. L'intérieur, qui peut accueillir 1 600 personnes, présente une nef à trois vaisseaux avec deux tribunes arrières, une tribune latérale, une tribune dans le transept et une tribune dans le choeur. Les murs intérieurs sont recouverts de plâtre tandis que la voûte, en arc surbaissé, est en bois. L'église est inaugurée le 10 octobre 1908 et bénite le 19 juillet 1909 par Mgr Paul-Eugène Roy, évêque auxiliaire de Québec. À l'automne 1913, le parachèvement de l'intérieur de l'église et de la sacristie coûte 24 639 $.
Des travaux d'embellissement de l'église et de modernisation des équipements ont lieu de 1956 à 1961. D'autres travaux sont réalisés à la toiture et à la maçonnerie en 2006 ainsi que la pose de gicleurs en 2010.
L'orgue
Un harmonium est installé en 1895. Il est détruit lors de l'incendie de 1906.
L'orgue actuel, d'esthétique romantique-symphonique, a été construit par Casavant Frères, au coût de 9 944 $, en 1919 sous le numéro d'opus 792. De traction électropneumatique, il compte 35 jeux répartis sur trois claviers et pédalier. Il a été bénit le 14 octobre 1919 par Mgr Paul-Eugène Roy.
Un relevage complet est effectué par la maison Orgues Létourneau en 1989 mais sans toutefois toucher à l'harmonisation de l'instrument. Au début de 1999, le conseil de fabrique approuve la formation d'un comité en vue d'un projet de réharmonisation de l'orgue. Les travaux sont effectués en 1999-2000 par Jean-François Mailhot, de Cap-de-la-Madeleine, qui est aussi harmoniste chez Orgues Létourneau. En plus de remplacer quelques jeux, certains autres ont été rebalancés pour convenir à la nouvelle harmonisation et ce, dans le souci de conserver le caractère romantique-symphonique de l'instrument tout en lui assurant une polyvalence pour interpréter le grand répertoire de l'orgue.
Eric Vachon
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East Broughton is a municipality located 56 miles (90 kilometers) south of Québec City and 21 miles (25 km kilometers) northeast Therford Mines in the Chaudière-Appalaches administrative region.
History
The 1791 Constitutional Act divided Canada into two provinces and prescribed a new land owning regime by the creation of districts where it was possible, contrary to seigniories, to buy land. The February 7th, 1792, proclamation by Sir Alured Clarke, lieutenant-governor of Lower Canada in the absence of Lord Dorchester, established the way land owned by the Crown would be administered and distributed. It divided Lower Canada into 21 counties on each side by the St. Lawrence River and every county being divided into districts. Each district had a 100-square-mile (259-square-kilometer) surface area, which is 10 miles (16 kilometers) aside, and included 10 roads of 56 lots each for a total of 560 lots by district.
On July 23rd, 1792, Henry Junken, a trader, and his uncle, William Hall, a hat maker, both Québec loyalists, petitioned to acquire a district located behind St. Joseph and St. Marie de Beauce seigniories. This new district, called Broughton, was surveyed by Samuel Holland who submitted his report on March 14th, 1794. The 'Broughton' recalls a city in England, in the Lancaster County. Another explanation for this naming would be to honor navigator William Robert Broughton (1763-1822), a George Vancouver's companion in 1791.
In May 1795, Junken and Hall subdivided the district into lots, making sure to control the grants and recruited associates to help clear the land. The association act was signed on February 15th, 1796. The district was officially erected on October 26th, 1800. It was part of the Buckingham County until June 18th, 1845, when it was transferred to the Beauce County.
The first settlers arrived in the region in 1817 to build roads linking up the new district with its neighbors. By 1839, colonization from people living in the Beauce County was very slow; most of them were more interested in land speculation and forestry development than by settling in the district. Besides, the high purchase price, the remoteness and the lack of transportation ways were factors that delayed the colonization.
Following the abolition of the seigneurial system on December 18th, 1854, the Broughton District became a municipality on July 1st, 1855. From this date, the territory was several times divided up. So, on December 5th, 1902, the Sacré-Coeur-de-Jésus parish municipality was established.
The discovery of asbestos deposits and the implementation of mining activities, between 1886 and 1896, encouraged people to settle in the region. This increase in population led, on October 27th, 1908, to the establishment of the Village municipality out of the Parish municipality. In 1931, the Village municipality modified its name into East Broughton. On January 1st, 1955, the East Broughton Station village was detached from the Parish municipality. Finally, the East Broughton Station and East Broughton municipalities merged on January 6th, 1994.
Mining activities stopped in 1986 causing a reduction of the working population and diversification in economic activities.
The Church
From October 11th, 1849, the Catholics in the Broughton District were entrusted to the St. Sylvestre parish priest; and it is only in 1851 that Fr John Caulfield O'Grady organized St. Pierre mission also known as the 'Grand Broughton' mission. In 1852, he celebrated mass in Jean-Baptist Dodier's home located in the 7th Rank North.
A first chapel was built in 1854 in the western section of the district. In May 1857, area residents sent a request to Archbishop Pierre-Flavien Turgeon, of Québec City, soliciting the erection of a parish and the permission to build a chapel. For this project, a piece of land was donated by Jean-Baptiste Dodier and Richard Lessard for the construction of the chapel. The Archbishop opposed the project in 1858 for fear that it will harm the newly created St. Pierre parish some years ago.
A new request was sent on December 22nd, 1869, to Archbishop Charles-François Baillargeon, of Québec City, soliciting permission to build a chapel and the appointment of a resident priest. Debates concerning the chapel site lasted all year 1870 and it was settled only on December 14th when Jean-Baptiste Dodier and Bénoni Bouthilliet purchased from François-Xavier Lessard, at the cost of $400, the necessary piece of land for the chapel. In the following days, the new owners donated the land to Fr François Gagné provided that the new chapel would be dedicated to the Sacred Heart of Jesus (Sacré-Coeur-de-Jésus).
The chapel was 45 feet (13.7 meters) long by 35 feet (10.7 meters) wide and 13 feet (4 meters) above the floor level with a 25 square feet (2.3 square meters) sacristy. Construction started on January 26th, 1871, and, in June 1871, Fr Alphonse Pelletier was appointed as the first resident missionary. On March 27th, 1872, the chapel, the sacristy and the presbytery were completed destroyed by fire. Deprived of a chapel, the residents attended mass in Bénoni Bouthillet's home. A new chapel was built in June of the same year. A neighboring home, belonging to Sidras Lessard, acted as a sacristy and as the presbytery.
The parish priest, Fr Bernard-Claude-Guy, recommended to his bishop, in 1874, in 1876 and in 1879, the construction of a new chapel, because the existing one had become too small and dilapidated. Every time, the request was rejected. On November 7th, 1881, a new request was sent to Archbishop Alexandre Taschereau, of Québec City, soliciting the canonical erection of the Sacré-Cœur-de-Jésus parish. The erection decree was issued on December 30th, 1881. Civil erection will take place on February 19th, 1883.
A request was sent on February 8th, 1883, to Archbishop Taschereau soliciting permission to build a church. The approval was given on the following February 17th. The wooden building, 162 feet (49.4 meters) long by 54 feet (16,5 meters) wide, was built southwest of the existent chapel and was blessed on December 4th, 1884, by Fr François-Xavier Tessier, parish priest in Beauceville. This church and the parsonage were completely destroyed by fire on March 15th, 1906. Losses were assessed at more than $30,000 partly covered for $18,000 by insurance. A 100-foot (30.5-meter) by 40-foot (12.2-metre) temporary shed with 500 chairs acted as a church while waiting for the new one.
Shortly after, a project for the construction of a new church was set up. The plans for the new building were entrusted to architects Pierre Lévesque (1880-1945) and David Ouellet (1844-1915), of Québec City. The stone church, in the Romanesque style with a Greek cross floor layout, is 200 feet (61 meters) long by 70 feet (21.3 metres) wide and a steeple reaching about 200 feet (61 meters) high. The construction works were entrusted in September 1906, to Elzéar Métivier and Son, of St. Damien, at the cost of $53,000. To this amount, $4,000 are added for the furnishings. Works lasted from 1906 till 1908. The interior, which can accommodate 1,600 persons, has a three-part nave with two rear galleries, a lateral gallery, a gallery in the transept and another one in the chancel. Interior walls are covered with plaster while its drop arch vault is made of wood. The church was inaugurated on October 10th, 1908, and was blessed on July 19th, 1909, by Bishop Paul-Eugène Roy, auxiliary bishop of Québec City. In autumn 1913, the church interior and the sacristy were completed at the cost of $24,639.
Church decoration works and equipment modernization took place from 1956 till 1961. Other works were carried out to the roof and to the bricklaying in 2006 and a sprinkler system was installed in 2010.
The Organ
A reed organ was installed in 1895. It was destroyed in the 1906 fire.
The actual organ, a romantic-symphonic instrument, was built by Casavant Frères, at a cost of $9,944, in 1919, as their opus 792. The electro-pneumatic traction instrument has 35 stops over 3 manuals and pedal. It was blessed on October 14th, 1919, by Bishop Paul-Eugène Roy.
A complete rebuilt was carried out by Orgues Létourneau in 1989 without modifying the voicing of the instrument. Early in 1999, the churchwardens approved the creation of a committee to oversee the revoicing of the organ. The works were carried out in 1999-2000 by Jean-François Mailhot, from Cap-de-la-Madeleine, who is also a voicer for Orgues Létourneau. Over the replacement of a few stops, others were rebalanced in order to match the new voicing structure while preserving the romantic-symphonic aesthetic of the instrument and adding flexibility for the interpretation of the large organ literature.
Eric Vachon
Grand-Orgue |
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1919 |
1999 |
|||
Montre | 16' | Montre | 16' | |
Montre | 8' | Montre | 8' | |
Flûte double | 8' | Flûte double | 8' | |
Gemshorn | 8' | Prestant | 4' | |
Prestant | 4' | Flûte harmonique | 4' | |
Flûte harmonique | 4' | Doublette | 2' | |
Doublette | 2' | Fourniture 1 1/3' | IV | |
Tuba | 8' | Tuba | 8' |
Récit |
||||
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1919 |
1999 |
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Bourdon | 16' | Bourdon | 16' | |
Bourdon | 8' | Bourdon | 8' | |
Principal | 8' | Principal | 8' | |
Voix céleste | 8' | Voix céleste | 8' | |
Viole de gambe | 8' | Viole de gambe | 8' | |
Violon | 4' | Violon | 4' | |
Flûte traversière | 4' | Flûte traversière | 4' | |
Piccolo | 2' | Piccolo | 2' | |
Cornet | III | Plein Jeu 2' | III | |
Hautbois | 8' | Basson-Hautbois | 16' | |
Trompette | 8' | Trompette | 8' | |
Voix humaine | 8' | Voix humaine | 8' | |
Trémolo | Trémolo |
Positif |
||||
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1919 |
1999 |
|||
Principal | 8' | Principal | 8' | |
Flûte ouverte | 8' | Flûte ouverte | 8' | |
Dulciane | 8' | Principal | 4' | |
Flûte douce | 4' | Flûte douce | 4' | |
Viole céleste | 8' | Nazard | 2 2/3' | |
Flageolet | 2' | Flageolet | 2' | |
Viole d'orchestre | 8' | Tierce | 1 3/5' | |
Clarinette | 8' | Cymbale 1' | III | |
Hautbois d'orchestre | 8' | Hautbois d'orchestre | 8' | |
Trémolo | Trémolo |
Pédale |
||||
---|---|---|---|---|
1919 |
1999 |
|||
Flûte résultante | 32' | Flûte résultante | 32' | |
Flûte ouverte | 16' | Flûte ouverte | 16' | |
Bourdon | 16' | Bourdon | 16' | |
Bourdon | 8' | Bourdon | 8' | |
Flûte | 8' | Flûte | 8' | |
Violoncelle | 8' | Basse de choral | 4' | |
Bombarde | 16' | 1Bombarde (ext) | 32' | |
Bombarde | 16' |
1 | Électronique (ajout en 2002) / Electronic (addition in 2002) |