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Casavant, Opus 2557, 1959
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Historique
En 1892, les Jésuites obtiennent l'autorisaiton du cardinal Elzéar-Alexandre Taschereau (1820-1898), archevêque (1870-1898) de Québec, pour étalir une maison de retraites fermées, incluant une chapelle, dans le secteur ouest de la ville de Québec alors en développement. Le secteur est érigé en paroisse le 18 mai 1909 sous le vocale de Notre-Dame-du-Chemin par le cardinal Louis-Nazaire Bégin (1840-1925), archevêque (1898-1925) de Québec. Pour ce faire, il détache ainsi le territoire de la paroisse Saint-Jean-Baptiste. Il confie la direction de la paroisse aux Jésuites et les paroissiens utilisent alors la chapelle comme église paroissiale. Une nouvelle église paroissiale plus spacieuse est érigée et ouverte au culte à Noël 1931. Quant à la chapelle, elle est cédée, en 1935, aux Sœurs de l'Espérance qui y fondent l'hôpital Sainte-Anne. La paroisse est fermée en 1998 sur ordonnance de Mgr Maurice Couture (1926-2018), archevêque (1990-2002) de Québec, et l'église est démolie en mai 1999 pour faire place à des condos..
En 1925, avec une population qui s'accroît rapidement, les résidents du secteur alors connu sous le nom de « Belvédère » s'adressent à Mgr Paul-Eugène Roy (1859-1926), coadjuteur (1920) et archevêque (1925-1926) de Québec, afin d'obtenir l'érection d'une nouvelle paroisse dont le territoire serait détachée de la paroisse Notre-Dame-du-Chemin et la construction d'une église, Cette requête est vivement combattue par les Jésuites, car la paroisse Notre-Dame-du-Chemin venait de voir son territoire réduit pour permettre la création des paroisses Saint-Sacrement (1921) et Saint Dominique (1925). Ces territoires sont arrachés de haute lutte par les pères du Très-Saint-Sacrement et les pères Dominicains. Déjà, en 1923, les pères Trinitaires avaient tenté d'obtenir une paroisse dans le secteur en soulevant l'ire des Jésuites. Pourtant ceux-ci ne cessent de se plaindre que leur église est trop petite et qu'il faudrait bien l'agrandir. Lorsqu'en 1927, un Dominicain, le père Raymond-Marie Rouleau (1866-1931) devient archevêque (1927-1931) de Québec, c'en est trop pour les Jésuites qui, défaits, abandonnent leur paroisse Notre-Dame-du-Chemin au clergé diocésain.
L'église
La nouvelle paroisse est érigée le 4 septembre 1928 par le cardinal Rouleau et l'abbé Joseph-Adolphe Laberge (1891-?) est nommé comme premier curé. Cette paroisse devait être dédiée à Marie Médiatrice Universelle, en vue du congrès marial prévu à Québec en 1929, et aux bienheureux Martyrs Canadiens. Lorsque les sept martyrs jésuites sont canonisés le 29 juin 1930 par le pape (1922-1939) Pie XI (1857-1939), la paroisse adopte ce seul nom; c'est un prix de consolation pour les Jésuites.
Au début, les paroissiens se réunissent à l'Oratoire Saint-Joseph, chapelle du couvent des Sœurs Saint-Joseph-de-Saint-Vallier. Sans délai, la Fabrique acquiert un terrain mesurant 81 mètres (270 pieds) sur 51,6 mètres (172 pieds). Ce terrain est par la suite agrandi par l'acquisition d'autres lots. En octobre 1928, le curé, l'abbé Laberge, retient les services de son frère, Héliodore (1883-1956), comme architecte de la nouvelle église tandis que les membres du conseil de fabrique lui recommandent de visiter quelques églises aux États-Unis pour assurer la qualité et la nouveauté de son projet.
Comme les édifices visités sont plutôt inspirés de l'architecture anglaise, ces modèles ne conviennent pas au clergé diocésain de Québec qui est réfractaire autant des sources anglaises qu'à l'influence nord-américaine. Le modèle proposé par l'architecte Laberge ressemble passablement à l'église Très-Saint-Sacrement, construite en 1920 d'après les plans de l'abbé Jean-Thomas Nadeau (1883-1934) qui se veut le défenseur d'une nouvelle architecture religieuse, inspirée par le mouvement nationaliste français et basé sur l'architecture des XIe au XIIIe siècle.
Les contrats de construction sont accordés an avril 1929 à l'entrepreneur Philippe Mathieu, et l'église est érigée en 1929-1930. La générosité des paroissiens et l'ardeur des marguilliers à réaliser le projet sont venues à bout des difficultés, car le monde connaît, à cette époque, une grande crise économique. Toutefois, la construction des flèches et le parachèvement de l'intérieur de l'église, sauf en ce qui concerne le sanctuaire, sont remis. L'édifice, livré à la mi-mars 1930 au coût de 191 000 $, est bénit le 14 septembre 1930.
Ce n'est qu'en 1951 que la fabrique entreprend de parachever le décor intérieur. Des esquisses sont commandées à six architectes, mais, l'année suivante, les plans de l'architecte Laberge sont acceptés. Les travaux sont terminés en décembre 1954. Il ne semble pas que l'intérieur réalisé soit très différent du projet initial de 1929. La construction des flèches ne sera jamais réalisée.
En 1999, la paroisse, entant qu'entité autonome, est dissoute et intégrée à l'unité pastorale Jean-Dominique qui regroupe les les anciennes paroisses Saint-Jean-Baptiste et Saint-Dominique et, par conséquent, l'ancien territoire de la paroisse Notre-Dame-du-Chrmin.
L'édifice
L'édifice, de style roman et en forme de croix latine, mesure 65,2 mètres (214 pieds)de long sur 23,5 mètres (77 pieds) de largeur à la nef et de 34,7 mètres (114 pieds) au transept. La hauteur sous la voûte est de 17,7 mètres (58 pieds). Les flèches proposées devaient atteindre une hauteur de 48,3 mètres (152 pieds). La nef, dépouillée de toute tribune latérale, possède une capacité de 1 170 sièges et est bordée d'un déambulatoire. L'intérieur est en aérocrite (brique et ciment spécial).
Le 14 avril 1944, la fabrique obtient un permis pour parachever la crypte qui, maintenant, contient des salles communautaires. Le 6 octobre 1988, la fabrique obtient un permis pour ériger quatre contreforts sur le mur est du transept au coût de 200 000 $. Le 27 novembre 2003, un ascenseur est installé pour faciliter l'accès à l'église.
Sous la coupole au-dessus du maître-autel, une fresque, représentant les saints Martyrs Canadiens et un grand crucifix, est recouverte de peinture lors des travaux de modernisation exécutés dans les années 1960.
L'orgue
En 1930, l'église achète un orgue usagé en tenant compte des restrictions budgétaires de l'époque et, le 16 février 1959, le conseil de fabrique approuve l'achat d'un nouvel orgue Casavant entièrement neuf au coût de 70 000$. Le financement, via souscriptions, du projet est dirigé par Charles-E. Demers. En un seul dimanche, les solliciteurs rapportèrent 42 000$.
Quant à la maison Casavant Frères, encore sous le choc de l'attribution de trois contrats successifs au facteur allemand Beckerath, se voit confier, le 20 février 1959, la construction d'un très grand instrument. Le nouveau directeur artistique de Casavant, Lawrence I. Phelps (1922-1999), qui a commencé à opérer des changements importants dans la conception sonore des instruments Casavant, trouve un complice dans la personne de l'organiste (1959-1974) de Saints-Martyrs-Canadiens, Claude Lavoie (1918-2014). Tous deux planifient un grand 68 jeux néo-classiques qui se trouvera être la première concrétisation canadienne d'importance d'une facture renouant avec la grande tradition de l'orgue. Véritable coup de maître de Casavant, cet orgue annonce une transformation qui amènera rapidement la facture canadienne à l'avant-garde du renouveau sur le continent américain.
Avec ses 5 168 tuyaux disposés en 94 rangs, l'orgue compte aujourd'hui 69 jeux. Il n'y a ni emprunt ni extension, même à la Pédale. Les 37 rangs de mixtures et les 17 jeux d'anches témoignent de la parenté avec les grands instruments classiques. La fabrication de cet instrument de 35 tonnes a requis six mois de travail alors que son installation et sa mise en harmonie définitive a aussi nécessité un autres six mois.
Dans la fabrication de l'orgue, le mécanisme électropneumatique, développé avec tant d'habileté par les frères Casavant, est utilisé. Ce mécanisme, avec sa très grande souplesse, permet à l'organiste de changer la registration à volonté, et ce, très rapidement.
Tous les jeux sont harmonisés à basse pression grâce à la souplesse du fameux sommier Casavant. Même si aucun des jeux n'est très fort, l'ensemble des jeux donne à l'instrument une grande puissance alliée à une grande clarté dans la polyphonie, ainsi qu'une grande variété de timbres.
L'orgue a été inauguré lors de deux concerts de la part du titulaire, Claude Lavoie, les 6 et 9 juin 1960.
En 1983, vingt-trois ans après son installation, et alors que se multiplient les orgues à traction mécanique d'inspiration classique, néo-classique ou "à l'identique", le besoin d'effectuer des travaux à l'instrument se fait sentir. Les anches sont remplacées par des nouvelles, de type Dom Bedos. Les tuyaux du Cromorne et du Chalumeau sont changés. Le jeu de Rankett cède sa place à une Douçaine. Un 69e jeu: est ajouté : la Sesquialtera, au Récit. Tous les jeux à bouche sont alors réharmonisés et certaines mixtures sont modifiées. C'est sur cet instrument que s'est tenu, le 18 juin 1992, et pour la première fois, l'important Concours d'orgue de Québec de la Fondation Claude-Lavoie. Ce concours se tient tous les trois and.
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History
In 1892, the Jesuits were authorized by Elzéar-Alexandre Cardinal Taschereau (1820-1898), archbishop (1870-1898) of Québec, to establish a closed retreat house, including a chapel, in the western section of the city of Québec then in development. The area was establiched as a parish on May 18, 1909 abd dédicated to Notre-Dame-du-Chemin (Our Lady of the Way) by Louis-Nazaire Cardinal Bégin (1840-1925), archbishop (1898-1925) of Québec. To do this, he took territory from the St. Jean-Baptiste parish. He entrusted the parish to the Jesuits and the parishioners then used the chapel as a parish church. A new, more spacious parish church was built and opened for worship on Christmas Day 1931. As for the chapel, it was relinguished in 1935 to the Sisters of Hope who established the St. Anne hospital. The parish was abolished in 1998 upon a decree by Maurice Couture (1926-2018), archbishop (1990-2002) of Québec, and the church building was demolished in May 1999 to make way for condos.
In 1925, with a rapidly growing population, residents of the area then known as 'Belvédère area' asked Paul-Eugène Roy (1859-1926), coadjutor (1920) and archbishop (1925-1926) of Québec, to establish a new parish whose territory would be detached from the Notre-Dame-du-Chemin parish and to authorize the construction of a church, This request was strongly opposed by the Jesuits, because the Notre-Dame-du-Chemin parish territory had just been reduced to establish St. Sacrement (1921) and St. Dominique (1925) parished. These territories were obtained followint a struggle with the Fathers of the Most Blessed Sacrament and the Dominican Fathers. Already, in 1923, the Trinitarian Fathers had tried to establish a parish in the area which raised ire from the Jesuits. However, they kept complaining that their church was too small and that it should be enlarged. When in 1927, a Dominican, Father Raymond-Marie Rouleau (1866-1931) became archbishop (1927-1931) of Québec, it was too much for the Jesuits who, defeated, abandoned the Notre-Dame-du-Chemin parish to the diocesan clergy.
The Church
The new parish was established on September 4, 1928 by Cardinal Rouleau and Fr Joseph-Adolphe Laberge (1891-?) was appointed as the first parish priest. This parish was to be dedicated to Mary Universal Mediatrix, in view of the Marian Congress planned to take place in Québec City in 1929, and to the blessed Canadian Martyrs. When the seven Jesuit martyrs were canonized on June 29, 1930 by Pope (1922-1939) Pius XI (1857-1939), the parish adopted this single name; it was considered as a consolation prize for the Jesuits.
At first, the parishioners gathered at Saint-Joseph's Oratory, chapel of the convent of the Saint-Joseph-de-Saint-Vallier Sisters. Without delay, the Fabrique acquired land measuring 81 meters (270 feet) by 51.6 meters (172 feet). This land was subsequently enlarged by the acquisition of other lots. In October 1928, the parish priest, Fr Laberge, selected his brother, Héliodore (1883-1956), as architect of the new church, while the churchwardens recommended that he visit several churches in the United States to make sure of the quality and novelty of his project.
As the buildings he visited were rather inspired by English architecture, these models did not suit the Québec diocesan clergy who was refractory to both English sources and the North American influence. The model proposed by architect Laberge is quite simillar to the Most Holy Blessed Sacrament church, built in 1920 according to plans by Fr Jean-Thomas Nadeau (1883-1934) who wanted to be the defender of a new religious architecture, inspired by the French nationalist movement and based on 11th to 13th-century architecture.
Construction contracts were awarded in April 1929 to contractor Philippe Mathieu, and the church was built in 1929-1930. The generosity from the parishioners and the churchwardens' determination to carry out the project overcame the difficulties because, at the time, the world was experiencing a great economic crisis. However, the construction of the spires and the completion of the church interior, except the sanctuary, were postponed. The building, delivered in mid-March 1930 at a cost of $191,000, was blessed on September 14, 1930.
It was not until 1951 that the churchwardens decided to complete the interior decor. Sketches were commissioned from six architects, but the following year, architect Laberge's plans were accepted. The work was completed in December 1954. It does not appear that the completed interior is very different from the initial 1929 project. The construction of the spires was never carried out.
In 1999, the parish, as an autonomous entity, was dissolved and integrated into the Jean-Dominique pastoral unit which includes St. Jean-Baptiste and St. Dominique former parishes and, consequently, the former territory of Notre-Dame-du-Chrmin parish.
The Building
The building, Romanesque in style and with a Latin cross floor plan, measures 214 feet (65.2 meters) long by 77 feet feet(23.5 meters) wide in the nave and 114 feet (34.7 meters) in the transept. The height under the vault is 58 feet (17.7 meters). The proposed spiers were to reach a height of 152 deet (48.3 meters). The nave, without any side gallery, has a capacity of 1,170 seats and is bordered by an ambulatory. The interior features aerocrite (brick and special cement).
On April 14, 1944, the churchwardens got a permit to complete the crypt, which now contains community halls. On October 6, 1988, a permit was obtained to erect four buttresses to support the transept east wall at a cost of $200,000. On November 27, 2003, an elevator was installed to facilitate access to the church.
Under the dome above the main altar, a fresco depicting the Sts. Canadian Martyrs and a large cross was painted over during modernization work carried out in the 1960s.
The Organ
In 1930, due to budgetary restrictions, the churchwardens purchased a second-hand organ. On February 16, 1959, they authorized the purchase of a new organ from Casavant Frères at a cost of $70,000. A finance committee was set up under the direction Charles-E. Demers. In a single Sunday, the committee raised $42,000.
Still under the shock following the awarding of three consecutive contracts to German organbuilder Beckerath, Casavant was selected to build, in 1959, a very large instrument. Casavant's new artistic director, Lawrence I. Phelps (1922-1999), who initiated important changes in the tonal composition of Casavant instruments, met an excellent associate: the organist, Claude Lavoie (1918-2014). They both planned a large 68-stop neo-classical instrument which will be the first Canadian instrument built while renewing with the great tradition of organbuilding. Tremendous coup for Casavant, this instrument heralded a change which would rapidly propel the Canadian organbuilding industry to the renwal forefront on the American continent.
With its 5,168 pipes divided among 96 ranks, the organ , today, has 69 stops. There is no borrowing nor extension even in the Pedal. The presence of 37 ranks of mixtures and of 17 reed stops put this instrument along with other large classical instruments. The construction of this 35-ton instrument required six months and six additional months for its installation and final on-site voicing.
The organ uses the famous electro-pneumatic action developed by the Casavant Brothers. This action, with its great flexibility, permits fast registration changes.
All stops are voiced on low pressure due to the flexibility of the famous Casavant windchests. Although none of the stops is very loud, the ensemble gives large power to the instrument combined with great brightness in the polyphony and a large variety of sound voices.
The organ was inaugurated by two concerts given by Claude Lavoie, on June 6 and 9, 1960.
In 1983, after twenty-three years of service and while mechanical traction, neo-classical or "to identical" instruments have multiplied, some work needed to be carried out on the instrument. The reeds were replace by new ones in Dom Bedos style. The Cromorne and the Chalumeau pipework was changed. The Rankett was replaced by a Doucaine and a new stop was added: a Sesquialtera in the Récit division. All flue pipes were revoiced and some mixtures compositions were modified. It is on this instrument that was held, on June 18, 1992, the first important Québec Organ Competition organized by the Claude Lavoie Foundation. This comnpetition is held every three years.
II. Grand-Orgue |
I. Positif |
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Montre | 16' | Quintaton | 16' | |
Montre | 8' | Montre | 8' | |
Bourdon | 8' | Flûte bouchée | 8' | |
Gemshorn | 8' | Prestant | 4' | |
Prestant | 4' | Flûte à fuseau | 4' | |
Flûte à cheminée | 4' | Nazard | 2 2/3' | |
Quinte | 2 2/3' | Principal italien | 2' | |
Doublette | 2' | Tierce | 1 3/5' | |
Flûte à bec | 2' | Larigot | 1 1/3' | |
Cornet 8' | V | Sifflet | 1' | |
Fourniture 1 1/3' | IV | Fourniture 1' | IV | |
Cymbale 2/3' | IV | Cymbale 1/2' | III | |
Bombarde | 16' | Cromorne | 8' | |
Trompette | 8' | Chalumeau | 4' | |
Clairon | 4' | 1Cornet 8' | V |
III. Récit |
IV. Choral |
|||
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Bourdon | 16' | Salicional | 8' | |
Principal étroit | 8' | Cor de nuit | 8' | |
Viole de gambe | 8' | Flûte de concert | 8' | |
Voix celeste | 8' | Gemshorn | 4' | |
Flûte à cheminée | 8' | Nachthorn | 4' | |
Octave | 4' | Flûte des bois | 2' | |
Flûte conique | 4' | Cor anglais | 8' | |
3Sesquialtera 2 2/3' | II | 2Cornet 16' | V | |
Octavin | 2' | 1Cornet 8' | V | |
Plein jeu 2' | IV | Tremolo | ||
Cymbale 1' | IV | |||
Basson | 16' | |||
Trompette | 8' | |||
Hautbois | 8' | |||
Voix humaine | 8' | |||
Clairon | 4' | |||
1Cornet 8' | V | |||
Tremblant |
Pédale |
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4Basse résultante | 32' |
Principal | 16' |
Montre (GO) | 16' |
Soubasse | 16' |
5Bourdon | 16' |
Gemshorn | 16' |
Bourdon (Récit) | 16' |
Octave | 8' |
Bourdon | 8' |
Flûte conique | 8' |
Octave | 4' |
Flûte ouverte | 4' |
Fourniture 4' | III |
Cymbale 1 1/3' | IV |
Bombardon | 32' |
Bombarde | 16' |
3Douçaine | 16' |
Trompette | 8' |
Clairon | 4' |
Hautbois | 4' |
1 | du Grand Orgue 8' / from Grand Orgue 8' | |
2 | du Grand Orgue 16' / from Grand Orgue 16' | |
3 | Additions en 1982 / Additions in 1982 | |
4 | de la Soubasse 16'/ from Soubasse 16'' | |
5 | Quintaton réharmonisé / Reharmonized Quintaton |